nike tn zalando une conseillère de new york lance l'appelfree tampon! Depuis le temps qu'on le dit, que les serviettes, tampons et
nike tn zalando autres produits hygiéniques de première nécessité devraient être gratuits, distribués aux femmes les plus défavorisées pour qui c'est un luxe, donnés aux écolières et aux lycéennes, que ces produits ne devraient plus être taxés à 20% ou 17,5% selon les pays (France et Royaume-Uni, par exemple), tandis que les sodas le sont à 5,5% : une conseillère municipale de la ville de New York, Julissa Ferreras, a relancé le débat sur son
New Balance compte Twitter (#freetampon), avec un tampon comme étendard et un argument : Dans une ville où nous distribuons des préservatifs gratuits, nous devrions rendre les tampons plus abordables et accessibles à toutes.La chroniqueuse britannique et féministe Jessica Valenti avait lancé un appel l'an dernier, rappelant que les règles, dans les pays où les serviettes hygiéniques sont inaccessibles ou inabordables, signifient manquer l'école pour les jeunes filles, rater plusieurs jours de travail pour les femmes, sans parler des infections vaginales répétées et dangereuses dues à l'utilisation de linges ou de papier –ou autres– pas adaptés (et pas propres). L'Unicef, rapporte la chroniqueuse, estime à 10% la part de petites Africaines non scolarisées pendant leurs règles. Une étude, dit-elle encore, montre qu'au Bangladesh, 73% des travailleuses d'usine manquent en moyenne six jours par mois… et donc six jours de salaire. Aux Etats-Unis, l'accès
Nike TN aux tampons et serviettes pour les femmes à faibles revenus est un problème réel : les coupons alimentaires ne couvrent pas les
nike air rift rue du commerce produits d'hygiène féminine, de sorte que certaines femmes les vendent pour s'offrir le luxe mensuel de tampons… Soit 4 euros environ la bote de 24. Ily a bien quelques solutions alternatives, la coupe menstruelle, les serviettes lavables ou low-cost, comme en Inde, mais a ne suffit pas. Les Américaines en remettent une couche, si on ose dire, et c'est très bien. Sur le compte Twitter de la conseillère Ferreras, il y a une photo : un carton où est marqué Food or tampons… Terrible. En France, le débat a été soulevé en février par le collectif féministe Georgette Sand qui réclame, dans un communiqué, que le taux de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) appliqué aux serviettes et tampons périodiques, qui s'élève à 20% aujourd'hui, passe à 5,5%, comme pour d'autres produits "de première nécessité", tels que l'eau, les denrées alimentaires ou les préservatifs. En novembre, le même collectif
Nike TN avait déjà dénoncé l'existence
nike air rift 2 d'une taxe rose, sorte de surtaxe appliquée aux biens de consommation destinés à un public féminin et établissant que pour un même produit ou service, comme des rasoirs ou le pressing, les femmes payent plus cher que les hommes. On attend toujours les résultats de l'enquête promise par le ministère de l'Economie. C'est pas gagné, quoi. Emmanuèle PEYRET