Un dernier message avant leur départ. Des affiches ont refait leur apparition, lundi 1er juin, sur les fenêtres de la maison de Maryvonne, cette octogénaire de Rennes (Ille-et-Vilaine) dont l'habitation était occupée par des squatteurs, rapportent France Bleu Armorique et Ouest France. La justice a ordonné, vendredi 29 mai, leur expulsion sans délai et la vieille dame doit justement reprendre possession des lieux lundi, même si la vétusté de la maison devrait chaussure tn requin hommel'empêcher d'y habiter dans l'immédiat. Affaire #Maryvonne squat rue de Chatillon #Rennes. La famille attend l'huissier pr revenir ds la maison pic.twitter.com/XEzsQ2v6oS — nike tn pas cher chine FB Armorique (@bleuarmorique) 1 Juin 2015 "Nous voulions interpeller le voisinage et les journalistes pour souligner que cette affaire est une gigantesque arnaque politique", explique tn pas cher de chine Benji, l'un des anciens occupants, à francetv info. Il dénonce "ce buzz sur le fait que les squatteurs seraient protégés", alors que "nous sommes partis très vite". L'avocat de Maryvonne a saisi la justice début mai, 18 mois après le début de l'occupation. "On se sert de cette affaire pour attaquer toutes les occupations" Les squatteurs s'inquiètent, en outre, des deux propositions de loi élaborées par les députés Julien Aubert et Marc Le Fur (Républicains) qui proposent d'étendre la violation de domicile et de la punir plus sévèrement. Un délit qui n'a pas été retenu par la justice dans l'affaire Maryvonne puisqu'elle ne vivait plus dans son pavillon Nike TN depuis plusieurs années lorsque les squatteurs sont arrivés en 2013. "Ils se servent de cette affaire pour attaquer toutes les 'occupations', celles des squatteurs, celles des site de vente de chaussure nike tn gens qui n'arrivent pas à payer leur loyer ou celles d'étudiants qui occupent l'université", estime Benji, qui redoute que ces mesures soient adoptées dans "l'indifférence" cet été Air Max sans que la gauche.
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