Nike
Air Max L'épilogue du dossier ouvert il y a douze ans n'est pas encore écrit, malgré les efforts déployés à Lausanne.
La course d'obstacles est loin d'être terminée. Que les grandes puissances internationales et l'Iran scellent ou non un accord à Lausanne, le sujet du nucléaire iranien n'est pas prêt de quitter les agendas des diplomates dans les mois et même les années qui viennent. Dans tous les cas de figure - rupture, délai étendu ou accord -, le bras de fer qui oppose depuis 2003 l'Iran au P6 (les membres du Conseil de sécurité de l'ONU et l'Allemagne) se poursuivra.
Initialement déterminés à démanteler entièrement le programme nucléaire iranien, les six pays négociateurs ont dû se résoudre à abaisser leurs exigences face à l'intransigeance de Téhéran. Le maintien d'une capacité d'enrichissement de l'uranium implique que la communauté internationale, mais aussi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), surveillent de près et pendant longtemps les installations nucléaires de l'Iran, Requin
Tn pour éviter une reprise du programme militaire, sous couvert d'activités civiles. Depuis le début des négociations, en 2003, l'Iran a régulièrement menti à la communauté internationale et dissimulé les sites clandestins de Fordo et de Natanz. Si ses ambitions nucléaires venaient à dépasser ou ignorer le cadre de l'entente avec les pays négociateurs, une confrontation militaire ne peut pas être exclue.
Dans l'immédiat, le fait que Téhéran ait décidé au dernier moment de renoncer à exporter son uranium enrichi en Russie - une mesure qui avait pourtant fait l'objet d'un accord - obligera les pays négociateurs à refaire leurs calculs. Pour obtenir un «break out» - Nike Ninja c'est-à-dire un délai de fabrication de la bombe - d'au moins un an, les puissances avaient en effet agi sur plusieurs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire